WEEKEND DE TROUPE A LUCINGES LE 26 ET 27 NOVEMBRE
En cette fin de semaine, nous bivouacons à Lucinges, sur les hauteurs de la commune. A notre très grande surprise, il y a peu de neige. Toutes les patrouilles s’installent, nous montons la tente, malgré les quelques problèmes de ficelle… Puis nous faisons des bancs, ramassons du bois… Notre coin de patrouille est situé à l’abri, sous les sapins. Et peu après nous partons faire les bancs de veillée. Pendant notre abscence, le chien de Briac passa dans notre tente pour s’essuyer les pattes et se sécher sur nos douillets sacs de couchage… Un magnifique couché de soleil illumine la vallée d’une resplendiscance divine.
Couché de soleil
Après, nous allons à la messe, célébrée, dans un champ superbe et un peu enneigé, par le Père Marie-Thomas. Pour nous réchauffer, nous entonnons ensuite, un traditionnel Père Abraham…Et avec Augustin, allons finir les bancs. Nous dînons, au menu : soupe de pates revigorante, avec escalope de dinde et compotes. La veillée de ce soir est assurée par l’Aigle, le Bouquetin, et le jaguar. Elle fut rocambolesquement comique.
Puis nous partons, dans la montagne pour une marche de 20 mn de nuit, illuminée par quelques torches flamboyantes. Avant notre arrivée sur le lieu, nous montons discrètement la pente, séparé en deux groupes, sur chaque côté, puis d’un coup, bondissons tel un jaguar et encerclons cyril, un nouveau chef, et il dut sortir du cercle…
cyril encerclé
Par la suite, les C.P sont investis.
Investiture des C.P
Puis tout le monde rentre par patouille se coucher dans un froid glacial. Je me lève un peu plus tôt, pour faire un feu, n’arrivant point à trouver le sommeil. Et chaque menbre de la patrouille sort un par un, au fur et à mesure pour venir se réchauffer. Après un rapide et bon déjeuner, nous allons au rasceau, habillés en Croisés par nos tuniques préparés pour le grand jeu. Nous sommes ensuite séparés en deux équipes : Les croisés ( faucon, aigle, condor, et jaguar ) et le Sarasins ( hermine, bouquetin, cerf, et ours ).
Après avoir traduis, un message en morse, nous nous dirigeons vers un bedouin de vant nous donner des informations ; en échange, nous devons effectuer une pyramide humaine à trois étages. Ce fut périlleux, mais nous y arrivâmes. Il nous indique un lieu ou tendre une embuscade. Nous nous y rendons, et prenons David, un chef sarasin en ôtage. Et nous lui soutirons avec peine des indications, comme celle ou nous devons construire notre fortin ; ou nous nous rendons et le construisons. L’armée de Saldin n’arriva pas à construire son trébuchet, et ils nous attaquèrent, délivrèrent leur otages et ne parvinrent pas à le ramenre dans leur camp.
Depuis ce matin, il neigé beaucoup, et les routes étaient devenues difficiles d’accès. Tout le monde rentra au point de rendez-vous, et retourna chez lui comme, il put.